Le site de campagne de Gabriel Bellocq

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15 avril 2012

DETTE, MENSONGE ET INTOX


Il y a peu de temps, le sémillant François Copé attaquait François Hollande sur sa gestion à la tête du Conseil Général de Corrèze, en mentant de façon éhontée sur les effectifs qu’il prétendait augmentés de 50% depuis 2008 alors qu’ils ont baissé. Il est utile de rappeler que la droite a laissé cette année-là une dette de 300 M€, le record des départements français rapporté au nombre d’habitants !

Au niveau national, la gestion Sarkozy a augmenté la dette de plus de 600 milliards en 5 ans, pour approcher les 1700 milliards à ce jour. Triste record là aussi. Et ça continue… Ce qui ne l’empêche pas de fustiger la Gauche qui ne gouverne plus depuis 10 ans, et de prétendre avoir protégé les Français. Au fait, quels Français ?

Ces dettes, ces mensonges, cette intox, cela ne vous rappelle pas quelque chose, habitants de Dax ?

L’arrogance de l’opposition municipale qui n’assume pas son bilan calamiteux d’avant 2008 est à l’image de leur modèle national néo-libéral. Mais n’accablons pas trop Edmond Caubraque, son charismatique porte-parole. Il n’a pas beaucoup d’armes, ni pour se défendre, ni encore moins pour proposer une alternative et un débat de fond démocratique et intelligent. Sous Forté, il y avait un Directeur de Cabinet hautement qualifié en finances publiques, notamment pour dénicher des emprunts toxiques dont les fâcheuses conséquences sont encore à venir, ou pour acheter un terrain au double de son estimation, ou pour laisser à l’abandon le parc HLM, les crèches, les maisons de retraite…

La majorité municipale de Gauche, comme les départements et régions de Gauche, font preuve de bonne gestion financière en assainissant les comptes tout en améliorant le quotidien de tous les habitants, malgré une réforme castratrice des financements territoriaux voulue par le candidat sortant.

Chacun doit avoir à l’esprit que la Gauche aux commandes des collectivités territoriales fait tout ce qu’elle peut pour amortir les désastres de la politique gouvernementale. Il faut l’avoir à l’esprit et le faire savoir à ce moment décisif de choix électoral national.

Le changement c’est maintenant.


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