Le site de campagne de Gabriel Bellocq

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28 janvier 2009

LE 29 janvier: MOBILISATION GÉNÉRALE !

Le parti socialiste appelle ses militants et élus à participer à la journée de mobilisation interprofessionnelle du privé et du public. la manifestation landaise aura lieu à Mont de Marsan à 10h30 devant les arènes.Rendez-vous derrière la banderole de la fédération des Landes du Parti Socialiste.
La crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche durement une grande partie des salariés dans leurs emploi et leur revenus alors qu'ils n'en sont en rien responsables. Des filières d'activités entières sont sinistrées et les plans sociaux se succèdent.les solutions proposées par Nicolas Sarkozy et son gouvernement perpétuent le vieil adage:"privatisons les bénéfices mais socialisons les pertes". Des milliards d'argent public, sans contrepartie,pour les banques; bientôt un plan pour l'automobile sans garantie de préservation des emplois. Pire encore l'entêtement à poursuivre les réformes de l'État dont le seul moteur est la suppression de poste à tout prix au détriment du service public. Les français et plus particulièrement les plus jeunes sont ainsi pris en étau entre le privé en crise qui licencie et le public qui n'offre plus de possibilité de carriere. Devant l'urgence de la situation,et en attendant les prochaines élections , c'est dans la rue que nous pouvons faire entendre notre voix.

23 janvier 2009

L'appel des appels (publié dans Libération le 23/01)

«Nous, professionnels du soin, du travail social, de l’éducation, de la justice, de l’information et de la culture, attirons l’attention des pouvoirs publics et de l’opinion sur les conséquences sociales désastreuses des réformes hâtivement mises en place ces derniers temps. A l’Université, à l’école, dans les services de soins et de travail social, dans les milieux de la justice, de l’information et de la culture, la souffrance sociale ne cesse de s’accroître. Elle compromet nos métiers et nos missions. Au nom d’une idéologie de "l’homme économique", le pouvoir défait et recompose nos métiers et nos missions en exposant toujours plus les professionnels et les usagers aux lois "naturelles" du marché. Cette idéologie s’est révélée catastrophique dans le milieu même des affaires dont elle est issue. Nous, professionnels du soin, du travail social, de l’éducation, de la justice, de l’information et de la culture, refusons qu’une telle idéologie mette maintenant en "faillite" le soin, le travail social, l’éducation, la justice, l’information et la culture. Nous appelons à une Coordination nationale de tous ceux qui refusent cette fatalité à se retrouver le 31 janvier 2009 à Paris.»

22 janvier 2009

Les réponses du PS pour enrayer la crise


"Agir contre la crise"
envoyé par publicsenat



Alors que le Président de la République illustrait hier remarquablement sa prise en compte des préocuppations d'une partie de nos compatriotes d'un "J'écoute mais je n'en tiens pas compte" quand ceux-ci voulaient lui faire part de leurs inquiétudes sur les réformes qu'il entend mener, le Parti Socialiste avalisait aujourd'hui son "contre plan de relance".


Le principal défaut du plan de relance présenté par Nicolas Sarkozy demeure de s'axer essentiellement sur la relance de l'Investissement et de ne pratiquement pas prendre en compte le soutien de la Consommation. C'est pourtant ce qui se fait chez nos voisins européens et aux Etats Unis.
C'est notamment ce très regrettable oubli que le Parti Socialiste, force de propositions, voulait mettre en évidence à travers son "contre plan de relance".
Ce plan de 50 milliards d'euros consacrerait la moitié de ses efforts à stimuler directement la consommation des ménages, la seconde moitié étant consacrée à la relance de l'Investissement.

-Une hausse de 3% du SMIC
-Une baisse de la TVA d'1 point à 18.6% (Coût 6.9 milliards d'euros)
-Attribution d'un chèque "anti crise" de 500 euros aux bénficiaires de la prime pour l'emploi (9 millions de personnes)
-Création de 100 000 emplois aidés supplémentaires. Gel des suppressions de postes dans la Fonction Publique
-Encadrement des licenciements pour décourager les licenciements boursiers (Par l'adaptation de la disposition mise en œuvre par la loi de modernisation sociale instaurée par le gouvernement Jospin.)
Mais aussi:
-Suppression du "Paquet fiscal" (Qui permettra de générer 10 milliards d'euros de recettes supplémentaires chaque année.)
-10 milliards d'euros d'aides en capital apportées aux banques sous forme de prise de participation de l'Etat.
-Mesures de soutien aux collectivités locales et aux entreprises en leur facilitant l'accès au crédit par l'intermédiaire de fonds de garantie.
-Généralisation du principe de conditionnalité des allégements de charges
Ce contre-plan engendrerait une répercussion de 5 milliards d'euros sur le déficit budgétaire.

Le Président de la République et le Gouvernement doivent rapidement réequilibrer leur plan de relance en faveur de la consommation des ménages et cesser d'asphyxier financièrement les services publics et les collectivités locales, au risque de voir notre économie durablement s'installer dans la récession.compte des préocuppations d'une partie de nos compatriotes d'un "J'écoute mais je n'en tiens pas compte" quand ceux-ci voulaient lui faire part de leurs inquiétudes sur les réformes qu'il entend mener, le Parti Socialiste avalisait aujourd'hui son "contre plan de relance".
Le principal défaut du plan de relance présenté par Nicolas Sarkozy demeure de s'axer essentiellement sur la relance de l'Investissement et de ne pratiquement pas prendre en compte le soutien de la Consommation. C'est pourtant ce qui se fait chez nos voisins européens et aux Etats Unis.

C'est notamment ce très regrettable oubli que le Parti Socialiste, force de propositions, voulait mettre en évidence à travers son "contre plan de relance".
Ce plan de 50 milliards d'euros consacrerait la moitié de ses efforts à stimuler directement la consommation des ménages, la seconde moitié étant consacrée à la relance de l'Investissement.
-Une hausse de 3% du SMIC
-Une baisse de la TVA d'1 point à 18.6% (Coût 6.9 milliards d'euros)
-Attribution d'un chèque "anti crise" de 500 euros aux bénficiaires de la prime pour l'emploi (9 millions de personnes)
-Création de 100 000 emplois aidés supplémentaires. Gel des suppressions de postes dans la Fonction Publique
-Encadrement des licenciements pour décourager les licenciements boursiers (Par l'adaptation de la disposition mise en œuvre par la loi de modernisation sociale instaurée par le gouvernement Jospin.)
Mais aussi:
-Suppression du "Paquet fiscal" (Qui permettra de générer 10 milliards d'euros de recettes supplémentaires chaque année.)
-10 milliards d'euros d'aides en capital apportées aux banques sous forme de prise de participation de l'Etat.
-Mesures de soutien aux collectivités locales et aux entreprises en leur facilitant l'accès au crédit par l'intermédiaire de fonds de garantie.
-Généralisation du principe de conditionnalité des allégements de charges
Ce contre-plan engendrerait une répercussion de 5 milliards d'euros sur le déficit budgétaire.

Le Président de la République et le Gouvernement doivent rapidement réequilibrer leur plan de relance en faveur de la consommation des ménages et cesser d'asphyxier financièrement les services publics et les collectivités locales, au risque de voir notre économie durablement s'installer dans la récession.