Le site de campagne de Gabriel Bellocq

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22 janvier 2009

Les réponses du PS pour enrayer la crise


"Agir contre la crise"
envoyé par publicsenat



Alors que le Président de la République illustrait hier remarquablement sa prise en compte des préocuppations d'une partie de nos compatriotes d'un "J'écoute mais je n'en tiens pas compte" quand ceux-ci voulaient lui faire part de leurs inquiétudes sur les réformes qu'il entend mener, le Parti Socialiste avalisait aujourd'hui son "contre plan de relance".


Le principal défaut du plan de relance présenté par Nicolas Sarkozy demeure de s'axer essentiellement sur la relance de l'Investissement et de ne pratiquement pas prendre en compte le soutien de la Consommation. C'est pourtant ce qui se fait chez nos voisins européens et aux Etats Unis.
C'est notamment ce très regrettable oubli que le Parti Socialiste, force de propositions, voulait mettre en évidence à travers son "contre plan de relance".
Ce plan de 50 milliards d'euros consacrerait la moitié de ses efforts à stimuler directement la consommation des ménages, la seconde moitié étant consacrée à la relance de l'Investissement.

-Une hausse de 3% du SMIC
-Une baisse de la TVA d'1 point à 18.6% (Coût 6.9 milliards d'euros)
-Attribution d'un chèque "anti crise" de 500 euros aux bénficiaires de la prime pour l'emploi (9 millions de personnes)
-Création de 100 000 emplois aidés supplémentaires. Gel des suppressions de postes dans la Fonction Publique
-Encadrement des licenciements pour décourager les licenciements boursiers (Par l'adaptation de la disposition mise en œuvre par la loi de modernisation sociale instaurée par le gouvernement Jospin.)
Mais aussi:
-Suppression du "Paquet fiscal" (Qui permettra de générer 10 milliards d'euros de recettes supplémentaires chaque année.)
-10 milliards d'euros d'aides en capital apportées aux banques sous forme de prise de participation de l'Etat.
-Mesures de soutien aux collectivités locales et aux entreprises en leur facilitant l'accès au crédit par l'intermédiaire de fonds de garantie.
-Généralisation du principe de conditionnalité des allégements de charges
Ce contre-plan engendrerait une répercussion de 5 milliards d'euros sur le déficit budgétaire.

Le Président de la République et le Gouvernement doivent rapidement réequilibrer leur plan de relance en faveur de la consommation des ménages et cesser d'asphyxier financièrement les services publics et les collectivités locales, au risque de voir notre économie durablement s'installer dans la récession.compte des préocuppations d'une partie de nos compatriotes d'un "J'écoute mais je n'en tiens pas compte" quand ceux-ci voulaient lui faire part de leurs inquiétudes sur les réformes qu'il entend mener, le Parti Socialiste avalisait aujourd'hui son "contre plan de relance".
Le principal défaut du plan de relance présenté par Nicolas Sarkozy demeure de s'axer essentiellement sur la relance de l'Investissement et de ne pratiquement pas prendre en compte le soutien de la Consommation. C'est pourtant ce qui se fait chez nos voisins européens et aux Etats Unis.

C'est notamment ce très regrettable oubli que le Parti Socialiste, force de propositions, voulait mettre en évidence à travers son "contre plan de relance".
Ce plan de 50 milliards d'euros consacrerait la moitié de ses efforts à stimuler directement la consommation des ménages, la seconde moitié étant consacrée à la relance de l'Investissement.
-Une hausse de 3% du SMIC
-Une baisse de la TVA d'1 point à 18.6% (Coût 6.9 milliards d'euros)
-Attribution d'un chèque "anti crise" de 500 euros aux bénficiaires de la prime pour l'emploi (9 millions de personnes)
-Création de 100 000 emplois aidés supplémentaires. Gel des suppressions de postes dans la Fonction Publique
-Encadrement des licenciements pour décourager les licenciements boursiers (Par l'adaptation de la disposition mise en œuvre par la loi de modernisation sociale instaurée par le gouvernement Jospin.)
Mais aussi:
-Suppression du "Paquet fiscal" (Qui permettra de générer 10 milliards d'euros de recettes supplémentaires chaque année.)
-10 milliards d'euros d'aides en capital apportées aux banques sous forme de prise de participation de l'Etat.
-Mesures de soutien aux collectivités locales et aux entreprises en leur facilitant l'accès au crédit par l'intermédiaire de fonds de garantie.
-Généralisation du principe de conditionnalité des allégements de charges
Ce contre-plan engendrerait une répercussion de 5 milliards d'euros sur le déficit budgétaire.

Le Président de la République et le Gouvernement doivent rapidement réequilibrer leur plan de relance en faveur de la consommation des ménages et cesser d'asphyxier financièrement les services publics et les collectivités locales, au risque de voir notre économie durablement s'installer dans la récession.

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