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16 février 2012

CONSEIL MUNICIPAL DU 15/02 : CAUBRAQUE DANS TOUTE SA SPLENDEUR

Hier soir, en Conseil Municipal, Edmond Caubraque, chef de file de l'opposition municipale, a une nouvelle fois étalé au grand jour son sens politique aiguisé que nous lui connaissons bien depuis le début de la mandature.
Il a à tel point ravi l'auditoire que plusieurs spectateurs sympathisants venus le soutenir on quitté la salle avant la fin !
Pour les Dacquois de droite, dont nous respectons les convictions, il y a de quoi s'inquiéter. Voir leur leader - jusqu'à preuve du contraire, c'est lui qui les représente - persister depuis quatre ans sur la même thématique du dénigrement revanchard à la limite de l'insulte, de la mauvaise fois ponctuée de contre-vérités, n'est pas de nature à les rassurer.

Tant mieux !
Tant mieux pour la majorité municipale qui réalise son projet et va même au-delà. Une majorité municipale qui réduit la dette tout en augmentant les investissements utiles à tous.
Une majorité municipale qui est tout simplement une bonne gestionnaire !

Mais enfin, quand on y pense... Jamais ils n'ont réellement débattu sur le fond d'un projet. Jamais ils n'ont reconnu l'évidence de la dette catastrophique qu'ils nous ont laissée. Jamais ils n'ont amené en Conseil Municipal ou en commission des contre-propositions ou des projets structurants concernant la ville.

Pour rire, car il vaut mieux en rire, l'intervention d'E. Caubraque sur les agents municipaux : l'UMP dacquoise, par sa bouche, se prétend le défenseur des fonctionnaire de la Ville ! Alors que c'est l'équipe en place qui n'applique pas la règle sarkosyenne du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux, et bien mieux, qui compense le gel des salaires décrétés à l'Elysée par des mesures locales d'augmentation. Elle a même pérennisé les emplois précaires créés par J. Forté avant les élections (70 dans l'année précédente, rappelons-le).

Pour conclure, le clou de la soirée a été leur non participation au vote d'une motion qui avait été déposée sur table comme le règlement le permet. Cette motion protestait contre la suppression de deux postes de RASED (Réseaux d'Aide Spécialisée aux Elèves en Difficulté) à Dax (sur 21 dans les Landes).

Mais pourquoi diable n'ont-ils pas voté contre ? Ils auraient ainsi montré leur soutien à leur président-candidat dont la politique conduit à ces suppressions de postes !

On savait qu'ils n'avaient pas de sens politique.
Le courage dont se targue le "Capitaine-Président" semble aussi leur être inconnu.

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